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Par Kiki Kienge
« Lubumbashi ne tombera jamais », nous envoi un Lushois dans un Tweet.
Laurianne Kalombo Mwewa Maire comme le veut les astres et la volonté de nos ancêtres, elle est Née à Lubumbashi le 30 juin le jour de l’indépendance, jour de la libération et de la liberté du peuple congolais.
Est-ce une coïncidence avec sa charge à la mairie de la ville de Lubumbashi et de sa guerre actuelle contre l’incivisme dans sa ville ?
Mariée au Dr Patrick Kapend, mère de 2 adorables fillettes, elle serait notamment jeune sœur d’Henri Mova Sakani, homme politique congolais, elle est licenciée en gestion de ressources humaines de l’Institut supérieur des études Sociales de Lubumbashi ISES.
Son parcours est notamment élogieux comme sa gestion actuelle à la tête de mairie de la ville de Lubumbashi, gestionnaire des ressources humaines à l’hôpital Wantanshi, en 2015 elle crée l’association sans but Lucratif ZAHABU qui a pour objectif de valoriser les valeurs humaines.
Elle se concentre plus dans l’éducation et la gestion financière des activités de la femme Katangaise, l’appui éducatif et financier aux agriculteurs et à tous les nécessiteux.
Une de ces citations préférées est ; « Il suffit juste lui accorder la chance et l’opportunité de s’en sortir et de poser les actions nécessaires. ». La femme.
Politiquement, elle est membre du PPRD où elle sera nommé Maire Adjoint de la ville de Lubumbashi en 2015, elle sera la deuxième personnalité sous Jean Oscar Sanguza Mutunda, bien après adjointe de Ghislain Robert Lubaba Buluma, qui sera suspendu lundi 24 janvier de ses fonctions, pour laisser à Laurianne Kalombo Mwewa Maire faire l’intérim comme maire de la ville.
Voilà depuis qu’elle intérimaire, elle se retrouve affrontée des problématiques liées à l’indiscipline citoyenne et aux actes inciviques dans sa ville ; constructions anarchiques et surtout le phénomène d’incivilité des chauffeurs de taxi motos communément appelés Manseba à Lubumbashi. Qui en plus d’une mauvaise image, sont la cause de nombreux accident de circulation.
Ces derniers se caractérisent par une indiscipline notoire vis-a-vis de la population et des autorités de la ville, cela pas seule à Lubumbashi, mais dans presque toutes le grandes ville villes du pays. Voila d’où vient le nom de guerre de Madame PUTIN octroyé à Madame le maire, Laurianne Kalombo pour sa lutte contre la détérioration de l’image de la ville, l’insalubrité. Son autorité est désormais mis a défi par les chauffeurs des taxis motos qui se sentent au dessus de la loi, simplement par pure fanatisme Politico-Ethnique.
Preuve ; on l’accuse de tribalisme pour avoir pris des sanction contre les taxis motos. Pourquoi tribalisme si les chauffeurs de taxis motos ne seraient qu’une catégorie de « travailleur » ?
Selon les dernières nouvelles de notre source sur place, Madame Putin aurait déjà bloqué l’accès à tout taximan sur motocycle l’entrée du centre-ville côté tunnel, route Sendwe vers camp Vangu, route femme Katangaise vers Kamalondo qui mène vers Salama, côté GCM avenue Mobutu niveau Tsondo, niveau Twendeleye…
Un jeune taximan a déclaré à notre source ; « il faut en finir avec l’anarchie de ces motards, sinon la paix et la convivialité qui ont toujours caractérisé le Katanga risque d’être remise en question »
Pour beaucoup de Lushois, Madame Putin ne devrait reculer devant aucune menace même politique, toute la population de la ville semble être en harmonie avec la décision de Madame Maire Laurianne Kalombo Mwewa Maire de faire « Piazza Pulita » dans le centre ville de la ville de Lubumbashi.
Quoi dire, vamos Madame PUTIN !
Toutes les décisions qu’elle eu à prendre sont toutes réfléchies et surtout intelligentes, ce qui m’inquiète, connaissant la réalité de notre pays je ne la voie pas aller loin la hiérarchie va appuyer les motards ce qui affaiblira toute nouvelle initiative dans le sens de remettre de l’ordre.
Les exemples sont légions.
L’autre aspect qui risquerait de la mettre sur une chaise éjectable, nous savons tous que la majorité de ces motards viennent presque d’un même coin du pays, ils sont souvent en tête des manifestations de leur leader, je vois mal celui-ci soutenir la pauvre dame qui par le concours de circonstances elle est du camp politique adverse.
Nous ne devons que l’encourager